On se lève à 6:00 pour prendre des photos. Les autos affluent pour le lever de soleil à Peggy. Et je ne parle pas de photographes, juste des gens. Je ne la comprends pas. En prime, une limousine, avec 2 ivrognes à l’arrière. Le chauffeur a l’air royalement écœuré. On décrisse, et vite.
On garde le cap, on doit se rendre à Murphy’s Cove, par la route côtière. Du côté sud, elle se nomme route des phares, du côté nord, c’est la route des marins. Le paysage est totalement différent. C’est moins beau, mais il existe des petits villages adorables. Il y a plus de conifères, et on voit une affiche qui indique le danger de bourrasques de neige. Donc, plus de neige, et plus froid au nord. Mais ça sent toujours la mer. C’est donc bon.
Premier arrêt, la Martinique beach. Wow, c’est beau. D’un côté les marais, de l’autre la mer. On y va. Attaques!!!! Encore des moustiques. Des tonnes de moustiques. On a mis le pied dans l’eau, on est reparti au VR, on a fermé le moustiquaire et parti à la chasse aux moustiques dans le VR.
Ce fut notre passage à la plage. On a au moins lunché là, en regardant les tentatives infructueuses des moustiques et des grosses mouches noires, de pénétrer dans le VR. On anticipe le moment où on va ouvrir le moustiquaire pourfermer la porte.
L’essence, la bouffe et la glace se font plus rares. Il faut y penser à l’avance. Dans une ville où le nom n’est pas prononçable et qui vaut au moins 200 points au Scrabble, on achète du jus, de la glace, et un plein de l’essence. Il m’était impossible d’oublier ces trois choses, ayant un rappel automatique.
On arrive au petit camping. C’est mignon, mais pas de wifi. Ça dépend où tu es placé. On n’est pas à la bonne place. On voulait rester une autre nuit, mais c’est plein, jusqu’au 2 septembre. C’est triste.
On part pour le retour demain. Direction Pictou, pour passer par PEI.
À suivre.