Nuit de merde, trop eu peur d’avoir peur. J’ai même rêvé que des jeunes nous écœuraient. Mais ce n’était pas le cas. Souvenirs de bateau à l’ancre, on regarde si tout va bien, à plusieurs reprises. Mais tout allait bien. À 5:45 Louise est bien réveillée, et quelques minutes plus tard c’est à mon tour. Elle me dit que si je ne m’étais pas réveillé, le gars de la pépite qui venait d’arriver s’en serait chargé.
On se lève, jus et on part. Même pas les dents brossées. Plus tard. Le but se rendre à Dorchester Cape, avant 16 h. On veut relaxer aussi.
On avance, et on arrête pour le plein. Il faut arrêter dans les truck stop, le bec verseur est plus gros. En fait, tellement plus gros que 30 secondes plus tard, j’étais déjà rendu à 25 dollars. C’est rapide.
Ça va bien, on roule, le temps est bon, quand tu roules à 106km/h, c’est long. Et tout d’un coup, malheur, catastrophe. On change l’heure. On va arriver une heure plus tard dans les maritimes. Coudonc, on ne peut rien y faire.
On cherche l’endroit, Dorchester Cape, gratuit. Mais, no way. le vieux quai, route pleins de trous, qui se rétrécit, j’y vais à pied, on laisse le VR la. C’est de pire en pire, mais c’est bien. On doit aller ailleurs.
On décide d’aller à l’entrée d’un sentier, le nom est sur la photo. C’est le fun, tranquille, notre premier apéro, et pas le dernier. Notre premier BBQ, et un peu plus calme. Une bonne douche, bien méritée. Il manque une valve sur le pommeau, pas capable de l’arrêter. Mais on est propre, enfin.
Sur ce, lecture, thé chai, et bonne nuit de sommeil. Demain. C’est soit 1:45 ou 3:30 de route. On verra…