Ce n’est pas la qualité qui compte, c’est la quantitéTemps de lecture 12 min

Cette dernière fin de semaine, on l’attendait avec impatience. Depuis plusieurs années, on veut aller au « camping » chez Patrick. Finalement, pour plusieurs raisons, ça n’a jamais adonné. D’un côté tant mieux, car c’est avec Dechinta qu’on va finalement aller voir cet endroit si exceptionnel, que Patrick m’a vanté maintes fois (avec raison en passant). Patrick m’avise d’une choses très importante, au « camping » c’est la quantité qui compte, pas la qualité. 

Donc on visite la région de Berthier et St-Gabriel de Brandon dans Lanaudière. La destination finale est Mandeville, sur les rives du lac Maskinongé. 

Je vous avertis, le blog est long. Ce n’est pas de ma faute. Plus on fait de choses, plus j’écris.

Berthierville

Étant donnée que nous sommes, disons libre, on a donc le loisir de partir plus tôt que les gens qui travaillent, et ainsi profiter de la journée. L’arrivée prévue au « camping » est vers 20:30. On décide donc d’aller luncher près de Berthierville, faire quelques provisions, et bien sûr, acheter le dessert. 

On cherche donc une halte routière. On la trouve. On se tape un lunch sur le bord du fleuve. À part les Harley, c’est très calme. Je ne poserai pas la question du pourquoi le bruit avec les Harley, je vais en manger toute une. En tout cas, le seul moment qu’on n’entend pas les oiseaux, c’est quand les gros bedonnants arrivent avec leurs bécanes.

Pendant le repas, on décide qu’on passera la nuit de dimanche à lundi à Berthier. je dois trouver un endroit. Autant dans iOverlander, que Park4Night, il y a un spot. On ne sait pas s’il est beau, mais on va aller faire du repérage. Dans le pire cas, il y a des sentiers de hiking, donc on ne s’ennuiera pas.

Les délices d’antan

Le moment venu de quitter notre premier spot, on s’en va faire le plein de sucre. On se rend aux Délices d’Antan. On ne connait pas cet endroit. Au menu, une douzaine de beignes mélangés et une succulente tarte au pacanes. ll y a même des produits plus « santé », sans sucre, ce qu’on s’empresse d’acheter. Les beignes sont faits devant nous, quand je dis faits, je parle de cuits et assaisonnés. Il ne peut pas y avoir plus frais que ça.

Plus tard ont apprendra que ces beignes sont faits avec des patates. Toute la famille de Patrick les connaissait très bien. Fait avec des patates, j’ai peine à le croire, mais oui. C’est en retournant sur le site, au moment d’écrire le blog, que je vois ça. Un petit détour qui vaut son pesant d’or.

Sentiers pédestres des îles de Berthier

Les provisions faites, c’est le temps de découvrir notre spot dodo. Il y a un VR déjà, et plein d’autos. Il ne reste qu’une seule place, et on la prend. Aucune affiche, des poubelles et recyclage, des sentiers, oui, on se dit qu’on revient le dimanche. On regarde l’application AllTrail pour connaître les sentiers, les dénivelés, la distance, et go, on fait le long tour, pas besoin de bottes. Pas besoin de rien, même pas de moustiques.

C’est super beau. Beau petit sentier, beaucoup de marécage, des tours d’observations, des gens avec des jumelles, c’est certain qu’ils regardent les oiseaux, parce qu’il n’y a pas grand chose d’autre. On prend le sentier vers le barrage. On rencontre environ 8 moustiques à un moment donné et c’est tout. Très agréable. On a le temps de faire un peu de photo. 4km plus tard, il est temps de revenir. On revient de l’autre côté de l’ile, C’est magnifique, mais là, on passe par la forêt, et je crois que les 8 moustiques de l’autre sentier, bien ils s’étaient perdus. Car là, ce sont des colonies de moustiques. Nous sommes les étrangers dans leur zone, non, nous sommes leur menus. 

C’est très désagréable. Pu de photo, pu de marche, que du pas rapide et des claques partout. On a tellement de sang sur les doigts et les mains, que si la police nous voyait, elle nous embarquerait, croyant à un homicide quelconque. Et j’exagère à peine.

Les installations manquent un peu d’amour, mais c’est gratuit. On peut toujours leur faire un don, il y a des boites sur place. Pour plus de détails, voici leurs sites : https://lanaudiere.ca/fr/activites-lanaudiere/scirbi-societe-de-conservation-dinterpretation-et-de-recherche-de-berthier-et-ses-iles/ et https://www.facebook.com/scirbi.

Pour ce qui est du spot dodo, tiens un peu de chialage. Nous étions 3 VR de moins de 25 pieds. Et qui n’arrive pas pour dormir, dans le petit stationnement, un gros pickup, 4 portes qui traine une Airstream de 30 pieds. Faut vraiment ne pas avoir compris le principe. Tu bloques l’accès aux résidents avec ta grosse affaire. C’est la méthode parfaite pour que le spot soit fermé. Moi pis les « vivre et laisser vivre », sans compter les « J’ai l’dwa », je ne suis pas capable.

La famille Gagné est prête à nous recevoir

Après une petite sieste et un bon souper, on s’apprête à partir. Patrick devrait y être vers les 20:45. On va arriver vers les 20:30, il n’aura pas à nous attendre.

À 20:30 on reçoit un appel, Patrick. Il nous demande si nous sommes dans le véhicule en avant de lui, oui… Il est juste en arrière de nous. On va ensemble à l’accueil. Il y a juste un os, il est seul. Mais où est tout le monde? Il les a déjà débarqué… ça sent un peu l’excès de vitesse, mais je n’en ai pas la preuve, je n’ai que le sourire de Patrick. 

On est juste content d’arriver plus tôt que prévu. Pas de feu ce soir, un peu pluie, juste des bonnes raisons pour commencer à boire. Et après c’est l’heure du dodo.

Le marathon des plaisirs…

Le lendemain matin, ça commence doucement. Tout comme nous, ils ont une petite routine le matin. On suit la leur. C’est le marathon qui débute :

Marche

Une marche autour du « camping » en sirotant notre café, on nous montre les lieux, mosus, c’est ben hot ici? Il y a tout, mais tout ce qu’on pourrait désirer, et je n’ai juste vu ce qu’il y a de près, ce qui se fait à pied, j’imagine la suite. C’est le premier plaisir.

Déjeuner

La marche terminée, c’est le déjeuner. Je crois qu’on va appeler ça un brunch, car il est déjà tard, et à la quantité de bouffe qu’il y a (souvenez-vous du titre), c’est certain qu’on ne mangera pas ce midi : croissants, salades de fruits, Nutella, dulce de leche, chocolatines, jus, fromage, yogourt. Nous sommes 7 à la table, ça fait longtemps qu’on a pas vu ça. C’est quasiment un repas communautaire. Mais quel repas, ouf, un vrai plaisir.

Tour à vélo

Une fois toute la bouffe et la vaisselle ramassée, on va faire le tour de tout le complexe en vélo. Là je vais expliquer la raison de mot camping entre guillemets. Cet endroit, le Camping de la Baie, est divisé en plusieurs sections :

    • Section parc qui est un terrain de camping près des activités sportives
    • Section camping, localisée tout près de la plage
    • Section plage, terrains de camping localisés tout près d’une petite plage
    • Section village, où nous sommes, où on y retrouve que des permanents. Honnêtement, on n’appelle plus ça du camping, ni même du glamping. C’est encore quelques coches au dessus. Moi j’appelle ça : vie de chalet.

Je reviens au vélo.

On fait donc le tour de toutes ces sections. Et on arrête à un endroit merveilleux, qui est une trampoline gonflée. Le plaisir qu’on a eu à cet endroit, est indescriptible. Il faut l’essayer. Louise n’a pas encore eu sa leçon à la suite de sa chute en vélo. Elle repart de plus belle.

Il m’est impossible de faire un choix dans les photos prises, elles sont toutes là, ci-dessous. J’ai rit lors du développement, je ris en écrivant le texte, je ris encore en ajoutant les photos.

L’action se déroule :

On revient au Village (maintenant que vous savez que ce n’est pas un vrai camping) pour une pause, et on repart.

Dégustation (la dégeulée de bière)

Il a fait chaud. C’est le temps de se désaltérer. Mais la réparation d’une chaise, faite ce matin ne tient pas suffisamment. Un peu de génie et elle est stabilisée. On peu se bercer, un très grand plaisir.

On continue dans les dégustations, 4 petits breuvages venant de nos périples. Mais pas de sieste, on doit continuer.

Pickleball

Je suis tombé en amour avec ce jeu. Allez-voir ça : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pickleball (en passant, même le mot tennis léger, je n’ai jamais entendu ça), c’est le fun. Il n’y a que deux raquettes, donc premier match Nathalie-Patrick avec vainqueur, Patrick. Second match Louise- Yvon, vainqueur Yvon. Le troisième match Patrick-Yvon n’aura jamais lieu. On ignore la vraie raison, mais ça sent un peu la peur.

Au lieu de ça, on emprunte des raquettes à deux jeunes pour jouer en équipe. Le sud contre le nord, les vieux contre les jeunes, les sédentaires contre les nomades, on s’en fout. Ça commence mal pour le sud. Les raquettes prêtées ne sont pas à la hauteur du talent des gens du nord. Le sud perd donc la première partie, et le sud perd aussi la seconde, humiliation extrême. Patrick a commandé un nouveau set de raquettes sur Amazon, parce qu’il a vu que j’étais beaucoup trop désavantagé. Il m’est arrivé, et ce à plusieurs reprises, de ne même pas toucher la balle. C’est aussi humiliant pour Louise de jouer avec moi. En fait, serait-ce à cause de la bière prise juste avant la partie qui a fait en sorte que je sois humilié de la sorte?

J’ai hâte au prochain match de revanche. En passant, ils ne louent pas de raquette au camping, mais ils en vendent à 90 piastres la pièce. La décision a été simple.

Malgré le fait que, tout comme un petit chien je voulais y retourner, pour une partie contre Patrick, ça ne s’est jamais concrétisé. Je commence à avoir des doutes.

Souper

On revient au bercail, encore une fois, parce que c’est bientôt le souper. C’est le temps des plaisirs de la table. Le plaisir de la chair viendra plus tard. Mais pendant que je ne fais rien, Louise est avec Nathalie à la préparation des légumes et Pat à la plancha de légumes et crevettes, et au BBQ de filets mignons, et aux patates grecques et aux patates au four. Pendant la préparation j’en profite pour faire un peu voler mon drone (plaisir solitaire, 😉 ), et je retourne à rien faire et je jase avec Patrick et boit du vin. 

C’est le fun manger à plusieurs, mais c’est du travail pour nos hôtes. Une chance qu’ils sont habitués, ils sont 5 à la maison. Avec du bon vin, tout ça, mais quoi demander de plus. Pour clore, on mange les fameux beignes aux patates. C’est à ce moment qu’on apprend les secrets de ces beignes. Les Gagné sont de fins connaisseurs. Je n’ai pas de photos de ce merveilleux repas. Je le regrette vraiment.

Le feu

Repas terminé, c’est le temps de se prélasser autour du feu, que Patrick s’est assuré de démarrer très tôt. Une des filles de Pat (Corinne, Alexia ou Kélianne) dont je n’avais pas nommée encore, ajoute un sachet pour mettre de la couleur dans le feu, qu’on regarde en buvant un digestif.

Un petit dérangement juste avant le feu, une odeur de propane dans l’air. C’est combustible du propane. Et finalement, ça vient de leur roulotte. Deux bonbonnes de propanes, totalisant 60 litres, sont vides. Pu d’eau chaude pour la roulotte, pu de douche, pu rien. Un peu de négligence mon Pat.

Le marathon est complété, sans compter les van tours, faits par Louise. Un grosse journée dans le corps, beaucoup de rires, la quantité était au rendez-vous. C’est ce qu’il faut, on garde le cap sur le titre de l’article.

La nuit

Il faut considérer que nous sommes le 30 juillet. En plein milieu des vacances de la construction. On devrait s’attendre au pire, mais non. Les gens sont pleins de considérations envers leurs pairs. C’est tranquille, comme en hiver pendant une tempête, il n’y a personne. Il faut que j’ajoute une autre chose exceptionnelle car nous sommes habitués à tout le contraire. Une des chaises est située tout près de la van. Corinne et Kélianne sont demeurées au feu très tard. C’est en allant évacuer quelques bières que je les ai entendues. Ils chuchotaient pour ne pas réveiller les gens. Mais quelle considération, merci les filles, vous avez de belles valeurs.

Le plaisir de la chair a été remis dû à une quantité, supérieure à la moyenne, de breuvage alcoolisé. 

Le marathon des plaisirs… du dimanche

Pensiez-vous réellement que le marathon était pour s’arrêter là? Je ne sais pas d’où vient ce dicton qui fait que la quantité prévaut, mais on continue. Les pauses sont très peu nombreuses.

Déjeuner gargantuesque

On recommence avec le café, la marche et un autre déjeuner gargantuesque. Cette fois-ci patates hachées, oeufs, saucisses, bacon, salade de fruits, yogourt, fromage. On connait la routine, le prochain repas est tard, alors il faut manger. Ça n’a pas l’air gargantuesque comme ça, mais il y avait tellement de bouffe sur la table, que de penser qu’il n’en resterait plus c’est de l’ironie. Patrick était toujours au poste sur son BBQ.

La plage

Le repas est à peine terminé qu’on se prépare pour le plaisir ultime, la plage (j’adore l’eau). En plus, l’endroit où tu ne fais rien entre deux choses. Ben, juste pour se préparer, 7 personnes, 4 Paddleboards, 6 chaises, toute la bouffe de plage, les ceintures, c’est une moyenne job. Mais on sait que ce sera sublime. Le but premier est d’aller faire du SUP, dans une petite rivière. On a hâte.

Le grand dérangement

Je sais, le titre fait référence à quelque chose de plus douloureux, mais dans ce cas-ci, de gonfler 4 paddleboards, à la pompe électrique, en plein milieu des gens qui sont sur la plage pour se prélasser, ça dérange pas mal. On se fait regarder. Comble de malheur, Patrick doit aller chercher une de ses filles au chalet. Je suis seul, et 40 personnes me regardent. C’est intimidant. Même pas le temps de finir de gonfler le troisième paddle, que je dis à Patrick qu’on doit se déplacer. Fiou, la pression diminue, et les gens sont contents. Ils ont remarqué qu’on savait qu’on les dérangeait. Nous sommes pardonnés.

SUP 1

Paddleboards gonflés, tout est prêt pour la route (clin d’oeil ici). Normalement on fait de la planche le matin, ou en fin de journée, lorsqu’il y a moins de vent, alors là, on y va en plein milieu de la journée, avec full de vent. On se rend à la rivière, je ne dirais pas de peine et de misère mais pas loin. Il vente fort, et on a eu le vent dans la face, en plus des vagues crées par les bateaux. Ça ne dérange pas tant, sauf que de se lever debout sur la planche est un peu plus périlleux. 

Arrivé dans la rivière, on voit que ça valait le coup. C’est ce qu’on aime beaucoup dans ce sport, les petits coins inaccessibles. On avance doucement, le but est de se rendre au second pont. Surprise…….. il y eu un déversement, on ne peut pas passer sous le premier pont. Il y a un dispositif pour recueillir les hydrocarbures. On ne sait pas si ce fut causé par un accident d’auto, ou autre chose, mais ce qu’on sait, c’est que la route est terminée. Tout ce travail pour un petit bout de rivière. Cette fois-ci, la qualité a prévalu.

Un retour plus calme, on se laisse dériver, une chute à l’eau pour ma part, un exercice de chute à l’eau pour Louise et pour Nathalie. Patrick reste bien au sec. On retourne à la plage, il faut se prélasser, et boire de la bière.

SUP 2

C’est au tour des filles d’aller en paddleboards. Elles sont trois, et il y a 4 planches. Bon ben j’y retourne. Je n’ai pas eu assez de plaisir faut croire. Les deux plus vieilles veulent aller dans la rivière, mais le vent est toujours très fort. On tente de se rendre, mais Kélianne a beaucoup de difficulté. C’est très difficile avec le vent et les vagues. Je fais de l’aller retour, pour rester près d’elle. Ce sera partie remise. On se rend à une bouée blanche et on rebrousse chemin. Kélianne trouvait que ça nous avait pris beaucoup de temps se rendre à la rivière. Voilà, c’est pour ça…

La plage encore

Finalement, on se prélasse. C’est le temps d’une collation santé, chips et bières. Santé? Ben oui, je vous ferai remarquer que ce sont des légumes, des céréales et de l’eau. On ne peut pas rester trop longtemps à se prélasser, on part bientôt, il faut ranger les paddleboards et tout le stock de plage. Finalement 3 demi-bières et on part. Ça passe bien trop vite.

Pickleball

Malgré la promesse de Patrick, la partie entre nous n’a jamais eu lieu. Hmmmm! 

Jeu de couilles

Un fois le tout dans la van, étant donné que je ne cuisine pas, on a le temps pour une partie de couilles (jeu de balle et échelles/ladder toss) le nom vient assurément des objets à lancer. Je vous laisse faire les recherches sur Google, le résultat pourrait être amusant. Le score se termine à 20-17 pour nos adversaires (Louise et Alexia). Kélianne et moi restons sur notre faim. Est-ce une habitude de ne pas terminer les tournois? Mais le repas est prêt, de succulents hamburgers.

Un dernier souper

Un dernier souper tous ensemble. On a eu le temps pour un apéro à la volée, entre deux, un petit rosé, mais Patrick, Nathalie et Louise encore au travail. Il y a des avantages d’être nul en cuisine. Cette fois-ci on est huit. Les boulettes sont tellement belles, ça m’a frappé. Mais comment font-ils les boulette? Grosses, rondes, épaisseurs parfaites. Je sais qu’elles n’ont pas été achetées toute prêtes, j’étais là. Juste à imaginer le résultat, parfait comme si elles avaient été façonnées en usine. Avec une bonne salade un vrai délice. C’est un dernier coup ultime à la quantité de choses que nous avons faites. 

Je crois que le prochain travail de Patrick rimera avec BBQ et quantité. Chef BBQ dans un camp de jeunes sportifs, avec la complicité de ses filles. Pourquoi pas…

Le départ

On attend que Patrick termine sa vidange de fosse sceptique pour prendre tout le monde en photo.

Pat nous rejoins, et on prend les dernières photos avant le départ.

Finalement, on retourne directement à la maison, on a besoin de reprendre notre souffle, Berthierville sera pour une autre fois.

La qualité

Nathalie, Corinne, Alexia, Kélianne, Patrick, vous êtes d’une grande générosité. Vous êtes charmants et adorables. En plus de nous avoir servi de la quantité, on a eu droit à la qualité. On a pu sentir chaque petits gestes, chaque interrogation de notre bien être et toute votre ouverture pour nous accueillir. Vous êtes les derniers hôtes que nous visitons cette année, et on garde un merveilleux souvenir de notre séjour. Tout comme les hôtes précédents, vous nous avez permis de vous connaître encore plus. Les filles, je vous connais depuis des années, sans vous avoir jamais rencontré. Ben là je vois encore plus, quelles belles personnes vous êtes.

Vous nous donnez envie d’être encore plus près des gens. On veut continuer ce beau périple de visites de nos amis, de nos proches.

On vous remercie du fond du coeur pour tout, et je peux sans équivoque changer le dicton de Patrick en le réécrivant ainsi :  Ce qui compte, c’est la qualité en quantité.

Ciao

2 comments

  1. LOL, je parlais de la boisson mon Yvon… de la boisson!!
    J’ai vraiment hâte à notre match de Pickleball !
    Aux plaisirs!
    Patrick

  2. Le plaisir fut grandement partagé!! Merci de votre visite. Et, oui Yvon, tu auras droit à ta revanche de pickleball!!

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